Agronegócio: África está madura para investimentos, diz banco

Agencia Estado23/01/2012 17h33 – Atualizado em 23/01/2012 17h33

Agronegócio: África está madura para investimentos, diz banco

 

 

Agencia Estado

 
 
 

Johannesburgo, 23 – Muitas regiões da África estão maduras para investimentos em agricultura por causa do aumento da demanda local por alimentos, disse Ronald Tamale, diretor da equipe de private equity para a África do banco Standard Chartered. Os investimentos no setor agrícola foram deixados de lado durante anos em muitos países do continente em favor de aportes em mineração e recursos naturais.

“A agricultura é um setor em que a África tem vantagem competitiva”, disse Tamale. “Vemos muita gente comprando terras, mas para nós o retorno não está aí. Gostamos de olhar mais para cima na cadeia de valor”. Ele cuida de uma carteira de US$ 400 milhões, dos quais 25% são investimentos na área agrícola. Na semana passada, o Standard Chartered fez um investimento de US$ 74 milhões na trading de commodities ETC Group Mauritius, companhia avaliada em US$ 500 milhões.

Nos próximos 12 a 24 meses, a ETC planeja aplicar US$ 25 milhões para se expandir para o oeste da África. Tamale disse que a Nigéria é um bom lugar para aportes no setor agrícola, em especial a produção de grãos, embora o petróleo receba a maior parte da atenção dos investidores. Além da Nigéria, a ETC quer investir no Mali, Burkina Faso e Níger.

Em 2011, a companhia comercializou 1,2 milhão de toneladas de commodities de 32 países africanos, ante 800 mil t em 2010. Em 2012, a meta é chegar a 1,5 milhão de t. As informações são da Dow Jones.

Fonte: Globo.com

Postado por Mario Lira – assessoria de imprensa

Ex-diretor do Bird no Brasil é nomeado vice-presidente para África

BRASÍLIA – O Banco Mundial (Bird) anunciou hoje que o senegalês Makhtar Diop será o novo vice-presidente da entidade para a África. Ele era o diretor do Bird para o Brasil desde 2009, mas seu sucessor ainda não foi anunciado.

Em nota, o organismo multilateral informa que Diop substituirá Obiageli ‘Oby’ Ezekwesili, que voltará à Nigéria no início de maio. O senagalês ingressou no Banco Mundial em 2001 e passou por cargos de direção no Quênia, Eritreia e Somália, além de diretor de estratégia e pperações para América Latina e Caribe.

Fonte: Globo.com

Postado por Mario Lira – assessoria de imprensa

Haïti, deux ans après le séisme: entre progrès et désespoir

Haïti, deux ans après le séisme: entre progrès et désespoir

Port-au-Prince, 12 janvier 2012. Sur la place du Champ-de-Mars, face au palais présidentiel toujours détruit.

Port-au-Prince, 12 janvier 2012. Sur la place du Champ-de-Mars, face au palais présidentiel toujours détruit.

© AFP/Thony Belizaire

Haïti, le 12 janvier 2010. À 16h53, heure locale, le pays est secoué par un tremblement de terre de 7,3 degrés sur l’échelle de Richter. Le séisme a fait au moins 200 000 morts et poussé à la rue 1.5 million de personnes. Deux ans après, la situation s’est améliorée. Mais pour de nombreux Haïtiens, elle reste critique.

 

Selon l’Organisation internationale pour les migrations (OMI), 100 000 abris provisoires en dur ont été construits, 420 000 personnes y ont trouvé refuge. Si le relogement de la population était l’une des priorités pour les organisations humanitaires, il l’est aussi pour le nouveau président haïtien, Michel Martelly. En août dernier, il a lancé avec les Nations unies un programme ambitieux, baptisé « 16-6 ». Ce programme favorise la reconstruction de maisons individuelles.

« Tout d’abord, il s’agit de former les personnes qui constituent la chaîne de la construction, depuis les ingénieurs jusqu’au maçon, jusqu’au propriétaire pour que chacun améliore la qualité de la construction, qu’on fasse des maisons qui soient plus solides, plus résistantes avec des matériaux de meilleur qualité », explique Eléonore Labattut, architecte et auteur d’un rapport intitulé La reconstruction de Port-au-Prince.

« Le plan 16-6 prévoit que chaque propriétaire établit son propre projet de maison. Sur le budget initial, les propriétaires peuvent rajouter leurs fonds propres afin de réaliser le projet qui leur correspond le mieux, s’adapter à la taille de la parcelle, à la taille de la maison, obtenir des prêts bancaires s’ils y ont accès, demander de l’argent aux gens de la diaspora. Le projet 16-6 a démarré dans 16 quartiers, que le gouvernement haïtien et les Nations unies ont défini comme étant prioritaires. Les personnes qui se trouvent encore sur six grands camps à Port-au-Prince, viennent de ces 16 quartiers. Donc en travaillant sur ces seize quartiers, on espère que les gens qui sont dans ces camps vont pouvoir retourner vivre dans leur quartier d’origine ».

Plus d’un demi-million de sinistrés vivent toujours dans la rue

Les projets de relogement existent. Mais leur mise en œuvre est jugée beaucoup trop lente par la majorité des Haïtiens. Puisque plus d’un demi-million de personnes sont toujours sans abri. Pour ces populations démunies, le quotidien est toujours d’une extrême précarité. Les sinistrés survivent sous les tentes, en proie aux intempéries et à l’insécurité qui sévit dans les camps.

Les organisations humanitaires soulignent pourtant les avancées qui ont été réalisées depuis le 12 janvier 2010. « Au lendemain du séisme, 1,3 million de personnes se sans trouvées sans logement. Aujourd’hui, on est passé à 550 000 ce qui constitue tout de même un progrès », fait remarquer Grégory Rondeau. Le responsable géographique pour Haïti de la Croix-Rouge française estime par ailleurs que la situation est plus complexe qu’elle n’y paraît. « Avant la catastrophe du 12 janvier, plusieurs dizaines voire centaines de milliers de personnes n’étaient déjà pas logées ou mal logées à Port-au-Prince. Et aujourd’hui, ces gens se retrouvent en partie également dans les camps qui existent encore ».

A Port-au-Prince, certains camps d’aujourd’hui seront les quartiers de demain

Selon de nombreux experts il est illusoire de croire que tous les camps vont disparaître dans le futur. « C’est un peu la façon dont s’est construit Port-au-Prince : dès qu’il y a une opportunité de terres, les gens tentent de s’y installer et développent ensuite leur habitat », explique Eléonor Labattut. « Depuis toujours, les quartiers informels, les bidonvilles, de Port-au-Prince se sont développés ainsi : on part d’une petite tente, et petit à petit on la consolide et ça devient un véritable habitat. Donc il y a une partie des camps qui va certainement se transformer en quartiers dans la durée ».

Le palais présidentiel toujours un tas de ruines

Les rues de Port-au-Prince portent toujours les cicatrices de la catastrophe. 5 millions de m3 de débris jonchent encore les rues de la capitale et des régions touchées par le séisme. Des tonnes de béton qui rappellent à chaque instant aux Haïtiens le traumatisme qu’ils ont vécu.

Pour sortir la population de cette situation, il faut plus qu’un toit pour chaque famille, estime Frantz Duval, rédacteur en chef du journal Le Nouvelliste. « Les administrations publiques, les églises, les grandes institutions, l’université, les principales écoles, rien de tout cela n’a commencé à se reconstruire. Que le palais présidentiel, deux ans après, soit encore un tas de décombres, ce n’est pas un signe positif. C’est la partie emblématique de la reconstruction qui nous manque », déplore le journaliste. « À titre individuel, chaque Haïtien fait des efforts pour essayer d’améliorer son quotidien. C’est aujourd’hui la responsabilité de ce gouvernement et de l’élite haïtienne de transformer cette énergie qui existe en autre chose ».

Le pari n’est pas gagné. Le président Michel Martelly n’a pas de majorité au Parlement haïtien. Et l’ONU fait savoir que des 4,5 milliards de dollars, promis par la communauté internationale pour la reconstruction d’Haïti, seule la moitié a été allouée pour l’instant en tout cas.

Source:  http://www.rfi.fr/ameriques/20120112-deux-ans-apres-le-seisme-entre-progres-desespoir

Ousmane Tanor Dieng, secrétaire général du Parti socialiste et Macky Sall, ancien Premier ministre libéral, candidats à la présidentielle au Sénégal

« Ma priorité consistera à travailler pour réduire les prix des produits de grande consommation : le riz, l’huile, le sucre et le gaz… Et réduire également le train de vie de l’Etat en luttant contre la corruption et l’impunité » (Ousmane Tanor Dieng)

« Ma priorité sera un primat du social avec comme première mesure, ce que j’ai appellé la bourse de sécurité familliale. Elle sera octroyée aux femmes de famille mono-parentales ou pauvres pour leur permettre de prendre en charge l’éducation des enfants. » (Macky Sall)

Lire la version écrite ci-dessous.

Au Sénégal, près de vingt candidats sont en lice pour la présidentielle du 26 février. Réaction aujourd’hui de deux des principaux adversaires du président sortant Wade : le secrétaire général du Parti socialiste, Ousmane Tanor Dieng, et l’ancien Premier ministre libéral, Macky Sall.

Entretien avec Ousmane Tanor Dieng

RFI : « Je pars dans un combat sans rival », affirme Abdoulaye Wade. Qu’est-ce que vous en pensez ?

Ousmane Tanor Dieng : Je pense que nous sommes là dans le cadre des frasques et des fantasmes d’Abdoulaye Wade ! Tout ça n’est pas très sérieux et il doit, au contraire, respecter ses adversaires. Parce qu’il risque d’avoir une surprise très désagréable.

RFI : Il dit que vous savez vous-même que vous ne faites pas le poids. La preuve, dit-il, vous faites tout pour qu’il ne puisse pas se présenter.

O.T.D. : Non ! Ce n’est pas nous, c’est la Constitution qui le dit ! La majorité des constitutionalistes d’une part, et d’autre part les rédacteurs de la charte de cette Constitution, tout le monde a dit qu’il n’avait pas droit à un troisième mandat.

RFI : Et si le Conseil constitutionnel valide quand même sa candidature, comment réagirez-vous ?

O.T.D. : Je serais très étonné que le Conseil constitutionnel puisse valider sa candidature !

RFI : Mais si jamais le Conseil ne va pas dans le sens que vous souhaitez, est-ce que vous appellerez à manifester ?

O.T.D. : Mais bien sûr ! C’est normal, quand même. On doit appeler à manifester, si la décision qui est prise ne nous convient pas.

RFI : Abdoulaye Wade dit : « Mon bilan est excellent ». Vous, vous affirmez que sa gouvernance est calamiteuse. Est-ce que la vérité n’est pas entre les deux ?

O.T.D. : Non ! La vérité c’est que sa gouvernance est calamiteuse ! Son bilan se réduit à une corniche qu’il a élargie et embellie, d’une part, et d’autre part, sur la VDN, Voie Dégagement Nord, pour sortir de Dakar. Et il a mis, autour de ces deux infrastructures, près de 1 000 milliards. Alors que le tiers aurait suffi, et les deux tiers devraient être utilisés pour désenclaver le reste du pays.

RFI : Et quelle sera votre priorité, si vous êtes élu ?

O.T.D. : La priorité c’est de travailler à réduire les prix des produits de grande consommation : le riz, l’huile, le sucre, le gaz, le carburant… Ça, c’est essentiel ! Et c’est aussi en réduisant le train de vie de l’Etat, d’une part, et d’autre part, en luttant contre la corruption et l’impunité. Il y a aussi la Casamance. Bien sûr, là, il faudra revenir à des fondamentaux. C’est-à-dire que c’est un problème qui intéresse nos pays voisins, la Gambie et la Guinée-Bissau, qui de notre temps étaient des pays garants.

RFI : Est-ce qu’il faut parler avec Salif Sadio, le rebelle casamançais ?

O.T.D. : Il faut parler avec tout le monde !

RFI : Abdoulaye Wade dit que Salif Sadio, le rebelle, a été soutenu par votre ami socialiste ivoirien Laurent Gbagbo. Comment réagissez-vous ?

O.T.D. : Je n’en sais rien ! C’est lui qui le dit ! Comme de toute façon Laurent Gbagbo ne peut pas répondre, il peut dire tout ce qu’il veut !

RFI : Mais vous avez l’air sceptique…

O.T.D. : Je n’ai aucune preuve ! Mais s’il le disait c’est que Gbagbo était là et un président de la République comme lui, bon…

RFI : Ousmane Tanor Dieng, longtemps, vous avez été contesté à la tête du parti socialiste. Des gens disaient « Tanor a été parachuté, Tanor manque de charisme ». Est-ce que ça vous a handicapé cela ?

O.T.D. :  Pas du tout ! La preuve est faite que les gens qui le disaient allaient vite en besogne. J’ai prouvé, après le départ de Diouf, que je pouvais tenir le parti la tête hors de l’eau, et en faire l’un des partis les plus attractifs de notre paysage politique. En tout cas, aujourd’hui, il c’est clair que nous sommes le premier parti, non seulement de l’opposition, mais presque du pays, du point de vue de notre ancrage dans la société.

RFI : Oui, mais enfin, vous avez été contesté dans le parti. Est-ce que vous vous êtes durci dans le combat ?

O.T.D. : Oui ! C’est normal, quand même, que je sois contesté dans les conditions dans lesquelles j’ai accédé aux fonctions qui sont les miennes !

RFI : Est-ce que vous êtes plus costaud qu’en 2007 ?

O.T.D. : Oui, tout à fait ! Mon séjour dans l’opposition m’a permis d’avoir une carapace plus résistante, en faisant face à ce que vous appelez les contestations au sein du parti et face au pouvoir. Tout ceci mis ensemble, ça m’a permis d’être effectivement plus costaud, comme vous dites.

 

Entretien avec Macky Sall

RFI : Quand Abdoulaye Wade dit qu’il n’a pas de rival, ça vous fait sourire ou ça vous énerve ?

Macky Sall : Ca me fait sourire plutôt, puisque ce sont des propos qui cachent une haute réalité, une inquiétude plutôt. Je considère cela comme une incantation, puisque il a en face de lui trois anciens Premier ministres, qui ont travaillé avec lui, sans parler du candidat du camp socialiste. Je pense que là, parler du premier tour, c’est vraiment faire une incantation.

RFI : Abdoulaye Wade dit que vous voulez l’empêcher de se présenter parce que vous avez peur de lui.

M.S. : Vous savez, on n’a pas peur d’Abdoulaye Wade, puisque c’est un président sortant. Il y a l’usure du pouvoir et il y a surtout le bilan calamiteux au plan social. Donc le débat n’est pas là. Le débat c’est que nous sommes des républicains. Donc, nous sommes pour le respect de la Constitution.

RFI : Si le Conseil constitutionnel valide sa candidature, est-ce que vous descendrez dans la rue ou pas ?

M.S. : Si le Conseil constitutionnel valide, nous apprécierons, par rapport à la situation du pays. C’est tout ce que je peux dire pour le moment.

RFI : Et si vous êtes élu, quelle sera votre première priorité ?

M.S. : D’abord un prima du social. La première mesure, ce que j’ai appelé « la bourse de sécurité familiale ». Elle sera octroyée aux femmes de familles monoparentales, ou en tout cas aux familles vraiment pauvres, qui sont aujourd’hui autour de 250 000 à 300 000 familles au Sénégal. Pour ces familles, nous donnerons un revenu minimum de solidarité devant permettre de prendre en charge l’éducation des enfants. Je mettrai en œuvre également une couverture maladie universelle, à partir des économies substantielles, qui seront générées par la réduction du train de vie de l’Etat. Et à cela, il faudrait ajouter des revenus tirés de certains secteurs comme les télécommunications, les transferts d’argent, et d’autres secteurs économiques.

RFI : La candidature Youssou N’Dour, est-ce que ce n’est pas une pierre dans le jardin des hommes politiques comme vous ?

M.S. : La candidature de Youssou N’Dour intervient dans un contexte effectivement de crise des valeurs, dans le contexte de l’émergence d’une société civile, avec un contrôle citoyen plus accru. Il faudrait plutôt voir à travers cette candidature une vitalité de notre démocratie. Et je pense que les politiques auront de plus en plus de mal à faire ce qu’ils veulent, puisque la société civile émergente, qu’elle soit candidate ou pas, restera une vigie. Youssou N’Dour est un artiste de renommée mondiale. Il est connu et respecté. Maintenant, il est entré dans un terrain nouveau, celui de la politique. Attendons de voir ce qu’il proposera, et comment nos compatriotes le considèreront. Pour ma part, je lui dirais seulement : « Bienvenu dans l’arène ».

RFI : Le conflit casamançais… Qu’est-ce que vous pourrez faire de mieux qu’Abdoulaye Wade, si vous êtes élu ?

M.S. : Je pense que ce que je ferais de bien, c’est d’abord, avec humilité, de mobiliser toutes les forces vives de la Casamance. Nous allons travailler également avec nos pays frontaliers, qui sont la Gambie et la Guinée-Bissau, et travailler également à travers une réponse économique, avec des projets structurants, tant dans le désenclavement que dans la perspective d’emplois pour les jeunes Casamançais. Donc je crois que là, il faudra une sorte de plan Marshall, immédiatement régler vraiment la continuité territoriale entre la région du sud et le reste du Sénégal, et surtout donner des perspectives avec tous les acteurs impliqués.

Source: http://www.rfi.fr/emission/20120109-ousmane-tanor-diengsecretaire-general-parti-socialiste-macky-sall-ancien-premier-m

Presidente de Angola participou em encontro regional na África do Sul

Presidente de Angola participou em encontro regional na África do Sul

O Presidente Angolano José Eduardo dos Santos

O Presidente Angolano José Eduardo dos Santos

© Getty Images/Sean Gallup

A segurança na sub-região, a situação política na República Democrática do Congo e no Zimbabué dominaram a reunião da Comissão política, defesa e segurança da Comunidade de Desenvolvimento da África Austral SADC realizada esta Segunda -Feira em Pretória, na África do Sul.

O Presidente Sul-Africano Jacob Zuma que preside o órgão da Política, Defesa e Segurança reuniu-se com outros membros integrantes, os Presidentes de Angola José Eduardo dos Santos que assume a presidência da SADC, e de Moçambique, Armando Guebuza.

Antes do encontro, Jacob Zuma e José Eduardo dos Santos reuniram-se em privado no quadro das consultas político-diplomáticas entre os dois países sobre questões de interesse comum. A reunião tripartida decorreu à porta fechada. De acordo com fontes diplomáticas, os estadistas concertaram posições sobre as crises políticas na República Democrática do Congo e Zimbabué cujas abordagens merecerão atenção na próxima Cimeira da União Africana.

Angola desenvolve intensas diligências diplomáticas para uma posição comum da SADC sobre a crise pós-eleitoral da República Democrática do Congo cujas consequências são imprevisíveis para a segurança da Região dos Grandes Lagos. O Zimbabué também inspira cuidados. A crise económica, a fome e as dificuldades na implementação dos acordos com vista à normalização da vida política do país podem criar um novo conflito.

Fonte: http://www.portugues.rfi.fr/africa/20120110-presidente-de-angola-participou-em-encontro-regional-na-africa-do-sul